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Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew]

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MessageSujet: Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] EmptyJeu 30 Avr - 14:50

Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries
Matthew ∞ Elsa
Le week-end, il n’y avait rien de mieux finalement que le week-end, enfin sauf si l’on pense que c’est la semaine de la rentrée et que déjà le village a été menacé par les moldus. Franchement, il y avait de quoi avoir peur. Mais un bras au-dessus de sa tête, l’autre cachant ses yeux de la lumière matinale. La gardienne des Serdaigle avait bien du mal à émergée. Elle était capitaine, elle aurait dû dire que c’était le week-end de l’entrainement, mais les Gryffondor avait eu la place pour le terrain avant e, alors ils avaient entrainement le lendemain aux aurores. Et autant dire que ce lever serait tout aussi difficile. Les cheveux en bataille, un maquillage à demi effacé de la veille, la petite soirée improvisé des septièmes années l’avait mise dans un état second et ce n’était pas Willow qui allait la réveiller de sitôt. Il devait être quoi onze heures ? Et on était samedi et quelques devoirs à rendre. Tant pis pour les devoirs. Elsa avait mal au crâne et finalement, sa meilleure amie rouquine eut le don de venir l’arracher de son sommeil bien mérité. Encore une fois, mais cette fille était incroyable… Comment une sang pur tel qu’elle pouvait-elle tomber amoureuse plus vite que son ombre ? Ça faisait une semaine qu’elles étaient rentrées à Poudlard et elle avait déjà eu trois coups de cœur. Très franchement, Willow arracha un soupir, un grognement d’agacement à une Elsa très mal réveillée. Autant dire que les autres filles dans le dortoir pouvaient avoir peur quand elles entendaient ce genre de bruit. Et ce n’était pas faux. Tel un ours enrager, elle sortit de ses couvertures et enferma Willow à revers dans ses dernières en hurlant que si c’était pour ce genre de conneries qu’elle la réveillait, elle devait le payer et le prix fort. Et donc, l’asphyxie par les couvertures du lit de sa meilleure amie fut un bon argument pour qu’elle arrête de parler de ce garçon. De toute façon, Elsa n’aimait personne et personne ne pouvait l’aimer tant elle était compliquée à sa façon. Donc, à quoi bon lui parler d’amour alors qu’elle n’y connaissait rien du tout. Certes, pour faire comme tout le monde, lors de sa troisième année, elle avait eu un petit ami, mais elle s’était vite lassée de l’attitude masculine de ce dernier. Très franchement, les garçons, c'était pas son truc, sauf pour les faire tourner en bourrique.

En fait, il n’y avait pas grand-chose dans quoi Elsa était douée, juste le fait de faire tourner en bourrique les gens ou les blesser à grands coups de mots pour obtenir des informations exclusives et écrire son petit journal clandestin. Dans sa ligne de mire en ce moment ? Tous les hommes de septième année et leurs petits secrets du succès. Elle s’attardait donc sur William un Gryffondor, hyper populaire, le ténébreux Lestrange qui en faisait tourner plus d’une. Chez les Serdaigles, Elsa irait surement voir un de ses joueurs de Quidditch hyper populaire et pour les Poufsouffles, il y avait l’irritable Benson. Ce mec était une tête de mule et elle n’arrivait décidément pas à lui poser la moindre question sans qu’il ne prenne la mouche. Sérieusement, elle avait un peu de mal avec tout. Si bien, elle pouvait suivre les ragots pour les deux premiers cités, mais pour le fils du professeur de potions, c’était bien plus compliqué que cela. Il était introverti et parlait à trop peu de monde. Si seulement Mérida ou Anna avait été à Poufsouffle, ça lui aurait facilité la tâche. Mais par Merlin elles étaient à Gryffondor toutes les deux. En position étoile de mer dans son lit avec une Willow encore sous le choc, elle pensait utiliser sa rouquine d’amie pour en tomber amoureuse et avoir un prétexte pour l’approcher, mais Elsa avait déjà essayé et Willow n’accrochait décidément pas. Il fallait ne se rendre à l’évidence, ce mec était plus muet qu’une tombe et avec le harcèlement qu’elle lui faisait subir, aucune chance qu’elle ne le charme un jour et qu’elle obtienne des informations… Donc finalement faire ses devoirs devait être la solution de facilité en ce samedi matin déjà bien entamé.

Les jours de cours n’étant que du lundi au vendredi, Elsa n’était pas obligée de mettre son uniforme ce qui eut le don de la ravir un instant jusqu’à ce qu’elle tombe nez à nez avec ce qu’elle devrait choisir pour se vêtir. Bien que son pantalon de pyjama blanc à rayures bleu et son débardeur assorti, elle était loin d’être sortable, mais elle était tellement bien dedans qu’elle attendit quatorze heures pour choisir un pantalon jeans bleu foncé et un débardeur col danseuse orange à manche longue, laissant ses cheveux descendre en Anglaise dans son dos. C’est bon, un coup de khôl et elle était devenue sortable. Selon Williow qui n’arrêtait cependant pas de parler de ce garçon. C’est la tête en vrac de discussion, qu’elle sorti avec ses affaires sous le bras direction la bibliothèque. Et autant dire qu’elle avait un peu de mal à se motiver, trainant des pieds comme elle le pouvait, Elsa voulait juste prendre des livres et partir faire ça dehors ou caché dans un renfoncement de fenêtres. Comme elle le faisait le plus souvent, au moins, il n’y avait pas cette pression du bibliothécaire sur ses épaules. Quand elle franchit les portes de cet antre du savoir, elle posa ses affaires sur une table déjà occupée, mais vide de personne pour chercher ce qu’elle voulait. C’était sans compter sa curiosité maladive. Qui était cette personne partie de sa place y laissant la totalité de ses affaires. Elle garda un livre en main, pour se pencher au-dessus du parchemin à demi écrit en tentant de savoir de quoi il s’agissait. Mais bon ce n’était pas un reproche, dans le pire des cas, elle pourrait dire qu’elle s’inquiétait pour ce pauvre parchemin laissé tout seul à son sort… Et pourtant, ça n'était pas l'excuse parfaite quand elle trouva le nom de Benson en haut du parchemin. L'occasion de le faire chanter et de jouer un peu. hm intéressant.

Elsa sortit un bout de parchemin vierge qu'elle roula en y laissant une devinette sur l'endroit où elle se trouverait avec le devoir tant travaillé. Elle eut un petit sourire, reprit ses affaires et alla se mettre dans son renfoncement de fenêtre habituel dans le fond de la bibliothèque
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MessageSujet: Re: Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] EmptyJeu 30 Avr - 23:05


On continue à se chercher des noises ou pas ?

Je suis tranquillement installé à ma table, dans la bibliothèque, à lire une énième fois Le Quidditch à Travers les Âges, à relater diverses stratégies pour le sport en me demandant ce que les capitaines des autres maisons vont encore sortir comme formation pour nous en mettre plein la vue. Si j'adore le quidditch, je ne suis pour autant pas capitaine de mon équipe, je mon contente de marquer des points en attendant que notre attrapeur fasse son travail. A vrai dire au départ je suis venu ici pour écrire mes devoirs d'astronomie et d'études des runes, qui au final, ne m'ont pas pris longtemps, c'est ça, de tout retenir. J'ai pris le temps de lire, et à défaut d'avoir un mal de crâne géantissime, j'ai fini ce que j'avais à faire. Mais voilà qu'une tête familière entre dans la bibliothèque. La petite fouine qui aime tant en savoir sur les autres, quoi que je ne lui ai jamais donné matière à écrire sur moi, Merlin merci. Je souris en coin, prends ma plume, et commence à gribouiller à la va-vite sur le parchemin qui traîne à côté de mes livres. J'ajoute mon nom en haut du parchemin en grosses lettres pour que personne ne se trompe sur son propriétaire. Après quoi, je me lève de ma place, décidant de remettre en place le livre sur le quidditch.

Je traîne dans les rayons plus qu'il ne faut et prends mon temps. Je me demande si elle va résister à la tentation en étant sûr que non. De fait, lorsque je reviens à ma place, le parchemin a disparu, le poisson a mordu à l'hameçon. Cette fille est vraiment incorrigible, quoi qu'on fasse. Alors je patiente tranquillement à ma place une bonne dizaine de minutes, range mes affaires et me mets à sa recherche dans la bibliothèque. Finalement je la retrouve à jubiler dans son coin et je prends une chaise pour m'asseoir en face d'elle, avec un sourire en coin. « Alors ? Ta lecture te plaît ? » dis-je en haussant les épaules. « Un tel charabia, ça se payera pas bien cher, si tu savais... Mais tu n'as apparemment pas pris le temps d'y jeter un coup d'oeil. ». parce que le sujet ne  contient que des bêtises. Du genre, des descriptions sur la façon dont Elsa est une petite fouine, que je suis vraiment méchant d'avoir laissé un parchemin avec des bêtises écrites dessus, je suis vilain, elle est trop curieuse pour son bien, blablabla. « Désolé, c'était un piège. Tu es trop curieuse ma pauvre. ». Je souris de plus belle.

Je m'attends à recevoir la gifle de l'année ou un truc de ce genre, un bon coup de pied dans le tibia, un regard cinglant qui veut dire qu'elle veut me voir lentement rongé par des veracrasses. Mais si personne ne lui fait ce genre de petits tours comme ça, le collège serait bien triste. Puis à lui faire ça, peut-être qu'elle finira par comprendre que je ne suis pas la personne à déranger. « Toujours décidée à m'embêter ? Tu veux quoi, je te dise que j'ai couché avec une telle ou une autre pour satisfaire ta petite curiosité mal placée ? Sérieusement, tu ne rends service à personne, je ne demande rien si ce n'est ma tranquillité. Va donc demander des comptes aux Gryffondors ou aux Serpentards, ils se battent comme des chiens dans la grande salle, ils auront largement plus de choses à te dire. ».
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MessageSujet: Re: Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] EmptyVen 1 Mai - 0:03

Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries
Matthew ∞ Elsa

Elsa faisait partie de cette partie de la population qui savait embêter son monde, mais elle n’avait pas vraiment trouvé de maître jusque-là. Enfin, certes, elle ne le savait pas encore, elle ne savait rien et en plus, c’était des plus compliqué à savoir. En fait, elle était fière de ses bêtises et de ses façons de faire peu orthodoxes des fois. Certes, elle n’était pas un mauvais bougre, mais il fallait dire qu’elle avait cette façon d’être elle-même qui mettait les nerfs à vif à de nombreuses personnes. C’est souvent pour ça que Willow ou Anna étaient envoyés en reconnaissance. Et pourtant avec tout le monde, la timidité de Willow marchait, et la bizarrerie d’Anna… C’était autre chose. Enfin, si Elsa avait des pions, elle s’en servait, bien qu’elle considère sa sœur et sa meilleure amie plus que comme des pions, elle n’avait pas de scrupules pour savoir tout ce qui pouvait se passer ici et là dans Poudlard. Surtout que stratégiquement le don d’être créatif était utile et autant dire qu’elle avait de la ressource et que parfois, ce n’était pas vraiment cela. Les secrets pouvaient être des forces pour des confrontations et face à Benson, elle n’avait définitivement rien. Si elle devait devenir l’élève d’un maître chuchoteur, elle irait le voir en premier. Mais une journaliste de premier plan ne pouvait pas s’avouer vaincue aussi facilement. En fait, ce qu’elle venait de prendre semblait être une trouvaille, mais finalement il l’avait berné tout autant qu’elle aurait voulu le faire. Alors, elle avait posé ses affaires sur le bord de la fenêtre ouvrant un manuel ou deux devants elle et déroulant d’autres parchemins, entamant une lecture de son trésor. Elle se mordit rapidement la langue en repliant le parchemin rageusement. Ce petit con ! Franchement ! Où était passé le respect ? Sérieusement comment avait-il pu …

Enragée, c’était le mot, elle brisa le bout de sa plume contre le parchemin qu’elle était en train de griffonner pour se calmer. Benson n’était un petit impertinent, finalement, il n’avait pas à mériter son attention. Mais derrière un air faussement calme, elle pouvait dissimuler sa déception, franchement, i l’avait encore bien niqué aux dépens de ses plus gros défauts. Les adultes diraient que cela était une bonne leçon, elle prenait plutôt cela comme un affront. Pourtant, avec l’air satisfait du poufsouffle venant s’asseoir en face d’elle, Elsa eut le don de se mordre la lèvre inférieure comme elle le faisait durant ses matchs de Quidditch. En plus de l’affronter dans les airs, elle avait pris la décision de se le coltiner en tête à tête. C’était bien sa veine qu’il parte rapidement ou son parchemin, elle allait lui faire bouffer. C’est d’ailleurs cette étincelle tueuse dans le regard qu’elle écouta ses propos un à un, jouant avec sa plume casser, affichant un joli petit sourire de circonstance. Alors qu’il sourit de plus belle après avoir avoué sa petite mesquinerie, elle répond avec le même sourire : « J’hésite encore à te le faire bouffer ce parchemin Benson. » Loin d’être la petite fille tranquille qu’était Williow, Elsa avait toujours mis des mots sur ce qu’elle ressentait et il l’avait bien eu. « Ma vengeance sera terrible. »

C’était le deal, depuis qu’elle avait commencé à l’approcher et d’ailleurs, elle devait être la seule fille assez folle pour l’approcher et pour réussir à parler avec lui sans qu’ils ne se lancent d’insultes. C’est d’ailleurs presque aussitôt dit aussitôt fait qu’elle prend le parchemin en se penchant dangereusement au-dessus de la table pour lui fourrer dans son T-shirt. Elle ne lui ferait pas manger cette fois. Mais elle trouverait et elle lui ferait bouffer quelque chose de bien plus amer qu’une simple feuille de papier. C’est presque souriant qu’elle tourna s’installer dans le fond de sa chaise, la faisant pencher en arrière. Se bercer était un moyen pour la Aberline de se détendre un tant soit peu. Pourtant, son petit monologue attira son attention. L’embêter, c’était bien plus fort que cela, c’était le pister à ce niveau-là. Ce mec avait le don de la rendre folle tant il était inaccessible. Comme une psy cependant, elle reprend une plume et la trempe dans l’encre : « Sujet expérimenté dans les domaines obscurs du plaisir donc. » Elle se fichait bien de ce qu’il avait pu dire avant. Sa tranquillité n’était pas son affaire. C’était sa dernière année non ? Alors, il arriverait bien à la supporter encore un peu. Elle continua à griffonner en ajoutant : « De toute façon je n’ai ni besoin d’aller les voir ou de les questionner, je sais déjà beaucoup de cette guerre improvisée, qu’ils fassent n’importe quoi, j’ai juste besoin de faits divers pour m’entrainer à écrire. D'ailleurs, tus sais quoi. Fais une croix sur ta tranquillité. C’est de la provocation ce que t’as fait et ça mérite bien que je t’embête encore un peu. » Elle le regarda en haussant les épaules : « J’ai beau ne rendre services à personne, je ne vais pas écrire des articles sur mes stratégies ou mes formations au Quidditch, alors je trouve autre chose. C’est tout, cotent ou pas c’est pareil. C’est pas parce que tu es majeur et fils de prof que je vais me prosterner. » Rebelle, Elsa n’avait pas besoin de passer par quatre chemins pour dire ce qu’elle avait à dire, un franc-parler peut-être parfois dérangeant, mais elle s’en fichait. « D’ailleurs au lieu de te venger de manière si sournoise, si on mettait en place des règles, un genre de cap ou pas cap. Qu’on ne tombe pas au niveau des Serpentard à se faire des coups tordus pour une contrariété. »

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MessageSujet: Re: Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] EmptyDim 3 Mai - 21:15


On continue à se chercher des noises ou pas ?

Elsa peste contre moi et j'avoue qu'assis devant elle, j'ai envie de rire tant la situation est comique. Après tout, même si elle n'est pas méchante malgré sa curiosité maladive mal placée, elle mérite qu'on lui joue un revers de tour comme celui-là. Rester inaccessible, c'est un de mes passe-temps, après tout, on est jamais mieux servi que par soi-même et j'ai déjà tant à faire entre mon père et surtout ma mère. J'ai encore mes deux parents en vie et je compte bien faire en sorte qu'ils le restent, même avec mes pauvres moyens, même sans baguette. Je ne peux me permettre de perdre mon sang-froid devant elle, ça lui ferait bien trop plaisir tiens. En fait, sa simple vie tout entière doit être basée sur la façon dont on emmerde les gens, soit. Je le fais bien moi-même mais tout de même, pas de la même manière. A la rigueur je ne fais qu'être sur la défensive, alors qu'elle, elle attaque.

Quitte à ce qu'elle se mette quelque chose sous la dent, autant qu'elle ne se froisse pas un muscle et qu'elle prenne les informations là où elles se trouvent. Les petites guerres incessantes entre chatons et petites vipères offrent à elles seules les meilleurs commérages du château. Néanmoins, moi qui suit énormément dans l'observation, il m'arrive de trouver quelques petites anecdotes croustillantes en plus, sans pour autant les vendre. Néanmoins, la blonde me prend tant la tête à ce moment précis que j'ai bien envie de continuer sur un sujet qui m'avantage pour que ses pensées dévient de ma personne. L'entendant dire qu'elle ne va pas se prosterner devant moi même pour mon père me fait grincer des dents. Soudain elle ne me paraît pas juste collante à souhait, elle devient aussi stupide. « Comme si j'ai besoin de mon père pour marcher droit, dois-je prendre ce petit pique pour un manque d'inspiration de ta part ? On va baisser le niveau des insultes et terminer par des noms fleuris ? Allons bon. » dis-je d'un ton légèrement exaspéré. Elle m'attaque, et la voilà qui veut jouer, me lancer un défi ? Elle ne veut pas tomber au niveau de la fourberie des Serpentard, pourtant, me voler un devoir pour me faire chanter, ça a tout d'un serpent limité mentalement. Et que m'aurait-elle demandé ? Si je met de la bière dans mes céréales ? Si je me drogue ? Non, je laisse ça à Sullivan. En parlant de lui d'ailleurs...

« Si tu tiens tant à jouer, tu aurais dû suivre l'affaire Sullivan et Lestrange. Ca a été une sacrée bagarre, tout ça pour Wallis, et comme par hasard, son couple bat de l'aile. Alors ? Votre verdict, votre comère seigneurie ? » A dire vrai, j'en ai vraiment rien à faire. C'est juste mon père qui m'a dit dans quel état il avait trouvé Sullivan, et aussi qu'il avait vu au loin un Lestrange à moitié noyé, collé-serré par une semi-vélane. Alors après les mecs de sa maison, ce pauvre Gabriel, la voilà qui s'attaque à celui qu'elle hurle haïr. Ces histoires d'amour, de coucherie, c'est du grand n'importe quoi. Je n'ai aucune envie de jouer à ces jeux-là. Surtout pas pour être d'autant plus collé. « Ecoute, Aberline. J'ai mieux à faire en ce moment que de servir tes petites envies. Tu veux du scoop ? Un détail croustillant de ma vie ? Ma mère est malade. Tu vas le crier sur tout les toits ? Dire que c'est ta copine ou ta sœur qui te l'a susurré à l'oreille ? Là c'est moi qui te le dis. Et j'ai très, très mal au crâne en ce moment même, et alors ? A vie n'est pas parfaite, quel dommage ! Mais au moins je m'endors le soir la conscience tranquille. ». dis-je à voix-basse, la tête comme un pilon. « Fais attention à toi princesse. Un jour viendra où tu vas révéler un secret dont tu ne mesures pas les conséquences, tu vas détruire des vies ou alors ce sera toi que les gens voudront détruire. D'ici-là j'espère que tu auras des amis très proches pour te surveiller, voire peut-être un petit ami. Tu es bien belle et je suis sûre que sous ton petit pull tu caches de jolies choses, mais pour le moment, je passe mon tour, désolé ! Peut-être une prochaine fois. ».
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MessageSujet: Re: Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] EmptyLun 4 Mai - 18:44

Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries
Matthew ∞ Elsa

Elle n’avait pas besoin de plus, ce mec avait le don de la mettre gros d’elle et ce n’était pas la première fois qu’elle se mettait dans un état profond énervement mental. Autant dire qu’Elsa avait des doutes sur ce qu’était ce garçon et que si elle le voulait vraiment, elle aurait juste à attendre un mal de crâne bien prononcé et lui touché la main pour lui dire quelque chose qui le retournerait de l’intérieur… Là, elle pourrait vraiment le faire chier et lui faire du mal, ce niveau de fourberie était peut-être un peu poussé par la blonde, mais elle avait en horreur qu’on lui résiste et tout le collège en avait déjà entendu parler. Non, elle était sage à ce niveau-là, mais elle savait user de ce qu’elle avait de mieux pour obtenir ce qu’elle voulait. C’était Elsa finalement. Se placer du côté des victimes, ce n’était pas son genre, elle laissait ça à Willow ou à Anna. Alors qu’elle voulait juste satisfaire des vilains défauts pour tromper son ennui et sa morosité. Elle était tout le temps souriante, mais elle mentait comme si c’était dans sa seconde nature de s’inventer une vie et de pouvoir faire ce qu’elle en veut. Ce n’était certainement pas un art de manipuler les gens par le mensonge, mais ça avait sauvé son père par deux fois et elle ne pouvait pas faire tomber le masque aussi facilement qu’elle le voulait. Elle était l’aînée non ? Elle avait une part de responsabilité dans sa famille et quand on savait ce qu’on disait des Aberline, il fallait un certain courage pour faire partie de la famille. Et pourtant, elle était là devant un poufsouffle bien décidé à la contrarié et un devoir d’Astronomie qui n’avançait en rien. Elle ne faisait que discuter et elle lui en voulait encore de l’avoir roulé dans la farine de la sorte. C’était humiliant, elle pouvait le dire. Pourtant, en tentant de ne pas se démonter, elle l’énerva bien plus qu’il ne l’était déjà à l’écoute de sa petite voix exaspérée. Elle eut d’ailleurs un petit sourire en coin, une petite victoire de l’énerver et de lui enlever ce sourire du visage. Cependant, il le prenait un peu trop mal à son goût que la blonde fronça les sourcils. « Arrête de prendre la mouche aussi facilement aussi, tu en serais déjà bien plus agréable. » Certes, elle tendait le bâton pour se faire battre, mais si c’était lui faire plaisir que de la battre à ses propres jeux qu’il s’amuse, finalement, il était en plus sympathique un sourire narquois sur le visage. Elle soupira d’ailleurs un peu.

L’histoire du triangle amoureux qui allait et venait dans les couloirs et dans son propre dortoir. Autant dire qu’elle n’en pouvait plus avec Willow qui se plaisait de lui dire tout ce qu’elle savait de la confrontation, en même temps, cette fille aurait pu avoir un ticket avec Lestrange, mais elle était trop occupée à courir après quelqu’un d’autre. « Je n’ai rien à dire là-dessus, un verdict ? Ces gens font pitié d’en venir aux mains pour une fille, franchement, on préfère le chocolat ou les fleurs, les poèmes pour les plus romantiques, mais Wallis ne demande qu’à vivre une histoire d’amour tranquillement. Tant pis pour Lestrange ou Sullivan, Wallis trouvera un jour quelqu’un qui l’aimera pour autre chose que son sang. Du moins, je l’espère pour elle. » Elle eut ce petit mouvement de tête qui voulait dire, au moins, elle a déjà des gens qui lui courent après c’est déjà pas mal. Pourtant, quand il lui demanda d’écouter, elle releva la tête, non pas curieuse, mais agacée qu’on lui donne de tels ordres. Mais son expression changea tout aussi vite qu’il lui disait que sa mère était malade. Lâchant sa plume, elle venu mettre une main devant sa bouche entre ouverte. Quelle conne elle faisait à cet instant ! Elle n’avait même pas la force de répondre à sa provocation sur le fait qu’un jour, une personne pourrait la détruire pour ses petits ragots ou autres, elle pensait à ses propres secrets. C’est vrai, elle n’irait pas le dire sur tout, les toits. C’est d’ailleurs, sa tête qu’elle tourna tentant en vain de se cacher avec l’aide de ses cheveux bonds. Si elle avait pu disparaitre, elle l’aurait fait, elle aurait fui son regard. Mais elle était là. Ne sachant pas décrochez un mot. « Je… Désolé. » Dit-elle aussi bas que lui l’instant d’avant ? Elle ne le regardait toujours pas, de toute façon qu’est-ce que ça changerait. « Et puis arrête de parler comme ça, c’est… On s’en fout de qui me parle de telle ou telle chose ! Tu n’es pas obligé, je n’oblige personne à me dire quoi que ce soit, si les gens parlent, c’est qu’ils en ont envie ! Alors quoi, tu as mal au crâne, bien. C’est cool, je suis heureuse pour toi. » Mais elle se retourna sur lui, le regard non pas suppliant, mais à la fois triste et mauvais : «  Mais je suis vraiment désolée pour ta mère, je sais ce que ça fait … ». Décidément, elle avait le don pour se mettre dans des situations qui ne l’arrangeait pas, déjà sa vision le jour de la cérémonie de la répartition, et là, ce gars qui la mettait au pied du mur. Elle n’avait pas envie de parler d’elle, comme elle ne voulait plus entendre parler de lui.

Pourtant, elle releva la tête, pas plus fière et pas plus sure d’elle comme elle l’était souvent en ajoutant : «  Et puis, je n’ai pas besoin d’amis, ni de petit ami pour  me défendre, on voit bien ce que ça fait d’avoir des petits amis de nos jours. » Elle avait besoin de rire, mais son sourire était perdu depuis qu’il l’avait mis mal à l’aise. Elle se massa les temps doucement, sentant son palet trembler et le mal de crâne venir, si ce mec lui filait la migraine, c’était malin …


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MessageSujet: Re: Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] EmptyMar 5 Mai - 11:59


Oh les filles, oh les filles...

Je n'ai aucune envie d'être agréable ou de feindre quoi que ce soit, ni même de me prétendre heureux alors que je ne le suis pas plus que ça. Les petits sourires hypocrites sous prétexte de ne pas vouloir inquiéter ses proches, je laisse cela aux personnes intéressées, moi de toute façon n'ai pas à mentir, je parle très peu, assez pour me couvrir. Seulement, poussé dans l'agacement et afin d'avoir la paix, ma langue a tendance à se délier plus que je ne le voudrais bien. Et c'est le cas présent avec Aberline. Parler de ma mère avec d'autres personnes est une chose que je ne désire pas, pourtant, c'est bien ce que je viens de faire. De là à savoir si c'est une relation de confiance en poussant son respect un peu loin, ou si c'est juste pour qu'elle me lâche, c'est une autre histoire. Disons que sa réaction pour le trio de dégénérés me fait un peu rire. Si les prétendantes de Lestrange savaient le dixième de ce que nous, avec Elsa, savions, elles auraient déjà pendu Wallis par les pieds, ce qui nous épargnerait son besoin de tout contrôler.

Revenant sur le fait que ma mère était malade, Elsa change de tout au tout de comportement. Elle s'excuse et je hausse un sourcil avant qu'elle n'enchaîne sur le fait qu'elle n'oblige personne à parler de leurs problèmes. Oui bien sûr, elle ne leur laisse pas le choix en vérité. Quant à mon mal de crâne et ses félicitations, je soupire. J'aurais aimé, là tout de suite, lui refiler cette migraine atroce et continue pour qu'elle sache un peu ce que c'est d'être une réserve d'informations qu'on ne cesse de remplir à chaque minute. Je suis certain que même dans dix ans, je saurai encore parfaitement comment sont dessinées les boucles de ses cheveux, où s'arrêtent la commissure de ses lèvres, de la façon dont roulent ses beaux iris. La laissant finir son discours, je m'attarde sur ces traits de son visage et quand elle s'excuse encore, je hausse les épaules. Si ça s'ébruite, je sais que qui ça vient.

Alors quand elle enchaîna sur le fait qu'elle n'avait besoin de personne et encore moins de petit ami pour la protéger, je lâche un petit rire. Les filles sont après tout compliquées, mais avec un peu d'observation, on finit par comprendre le plus gros du troupeau. « C'est parce que vous les filles, vous vous figurez que le moindre coup de cœur pour le premier connard venu est un amour éternel. Si vous vous laissiez un peu moins surprendre et que vous vous engagiez avec un type que vous apprenez à connaître un minimum, ça irait sans doute mieux. ». Je roule une de mes bagues entre mon pouce et mon index. « Après tout, tous les mecs ne sont pas des salauds. On est pas des bêtes avides de sexe sur pattes, même si, on va pas se mentir, on adore ça. Des fois j'ai juste l'impression que les filles veulent avoir tous les avantages sans avoir les inconvénients, et que leur petit prince charmant doit n'avoir que des qualités et pas de défauts. La personne parfaite n'existe pas, on ne voit ça que dans les contes de fées. ». Il lui sourit, ses lèvres prenant une légère courbure de coin. « Prends le temps d'apprendre à connaître ton prochain mec, okay ? » dis-je en tapotant sa main.
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MessageSujet: Re: Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] Et c'est comme ça qu'on arrêta nos conneries [ft. Matthew] EmptyMer 6 Mai - 15:18

Oh, les mecs ne sont pas mieux ...
Matthew ∞ Elsa

La conversation avait beau avoir changé du tout au tout, Elsa n’arrivait pas à se défaire cette idée qu’il n’était ouvert que quand il était amusé. Et l’idée lui faisait peur, elle n’amusait que peu de monde et l’amuser lui ne lui plaisait peut-être pas plus que cela, en fait, c’est vrai que Benson avait ce petit type qui pourrait lui plaire, mais il était tellement froid, à cacher quelques choses. Et le fait qu’elle mette le doigt dessus sans savoir pourquoi ni comment. C’était inattendu, en fait, Elsa ne savait plus vraiment comme s’y prendre avec lui. Il savait la faire enrager, comme la faire se décevoir d’elle-même. Il la mélangeait finalement, en face de lui, elle n’arrivait pas à rester la petite peste qu’elle voulait être pour qu’on ne lui pose pas de question à elle. Si Anna et Mérida savaient garder le secret pour leur père, Elsa en avait toujours eu gros sur le cœur de ne pouvoir rien dire, et de se dire que finalement, Fred Aberline serait condamné à vivre dans un monde qui n’avait jamais été le sien jusqu’à la fin de la guerre. Et s’il venait à disparaitre, que ferait-elle ? Quitter Poudlard pour aider sa mère à remonter la pente avec les jumeaux ? Elle était pensive, le simple sujet de sa famille était un peu plus compliqué qu’il n’y paraissait et pourtant, elle n’avait jamais eu honte d’en parler avant, mais depuis la guerre c’était vraiment tendu, du moins, surtout depuis avril dernier en fin de compte. Elsa n’avait jamais été des plus agréables, avec les gens, surtout dans ses premières années, elle avait eu du mal à s’affirmer en tant qu’Elsa justement, on l’appelait par son horrible premier prénom jusqu’en troisième année avant qu’elle ne pète une durite et sévèrement puisque le professeur de botanique en avait aussi fait les frais ce jour-là. Et son carnet d’heures de colles également. Puis elle avait pensé que s’intéressé aux autres, ça la ferait s’oublier et qu’on ne parlerait plus d’elle que pour les secrets qu’elle savait dénicher.

D’ailleurs, la blonde leva les yeux au ciel avant de les fermer, agacée par la propre bêtise, comment avait-elle pu penser un ainsi durant des années, se dire qu’elle pourrait passer au second plan en se mettant sous les feux de la rampe. C’était totalement débile, et finalement, elle lui devait sa tranquillité pour au moins deux mois, avant qu’elle ne décide du ré harcelé un peu. Il y avait ce petit côté d’un fui moi je te suis… Et ce petit jeu pourrait sans doute lui manquer à la longue, alors bon, pourquoi pas essayer de faire ami ami sincèrement. Pour, une fois, c’était une question censée qui flottait dans son esprit. Pourtant, il engagea un discours assez épique sur les filles et leurs stéréotypes. L’amour avec un grand A n’avait jamais été le grand kiff d’Elsa, finalement, elle avait tenté de sortir avec plusieurs garçons sans jamais avoir de cœur brisé comme Willow pouvait l’avoir au moins deux fois par mois. « L’amour éternel, c’est pour les enfants, enfin… Je pense qu’il peut y avoir éternité si on apprend à être une personne intègre plutôt qu’un couple qui vit dans son petit monde. C’est bon, les roses et les contes de fées ça dure bien cinq minutes. À nos âges on a encore le temps de connaître l’amour alors bon… » dit-elle en se détendant petit à petit. « Et puis, il y a des filles qui sont toutes avides de sexe que les mecs. C’est la vie, on n’est pas tous pareil, mais c’est comme ça quand il faut, il faut. » Finit-elle rougissante, la pauvre vierge effarouchée qu’elle était. Parler de ça, ce n’était pas forcément dans ses cordes, mais elle essayait de comprendre petit à petit. Et puis connaître son prochain petit ami… La blague : « Si je croyais à l’amour éternel, il serait moldu et s’appellerait Mateo James. En maternelle, c’était le grand amour » ajouta-t-elle un sourire en coin. C’est vrai, sacré petit couple de bouffons qu’ils avaient été ces deux-là… Pourtant, elle ne fut que plus surprise, lorsque la main de Matthew entra en contact avec la sienne.

Une première petite tape, et sa tête avaient continué d’enfler, la seconde, c’était pire et la troisième, elle ferma les yeux en fronçant les sourcils. Elle ne voulait certainement pas voir ce qu’elle allait voir. La mort ou bien la tristesse. Pourtant, dans la minute qui la retenue dans son subconscient, la blonde, ne se vu qu’elle et lui. Sans vraiment distinguer les endroits, ça semblait plutôt feutré. Comment se retrouvait-elle avec lui, à poser sa tête sur son épaule, et lui ses mains autour des siennes, comme réconfortantes. Mais ce qui l’acheva surement, c’est le baiser qui suivit la fin de sa vision. Elle sursauta sur sa chaise en rouvrant les yeux, une goutte de sueur sur ses tempes, elle regarda à gauche puis à droite, et en face d’elle. Il était toujours là, et aussitôt Elsa reprit sa main contre son cœur. Si elle n’avait pas envie qu’on sache ce qu’elle est… C’était loupé pour le fils Benson, mais il semblait plutôt soucieux de garder les secrets bien enfouis, alors elle ne dit rien, calmant peu à peu son rythme cardiaque, tétanisé. Pourquoi s’étaient-ils embrassés alors qu’ils se cherchaient des noises il y a encore quelques minutes. C’était impossible. Il lui restait une année et la rancœur ne s’efface pas en quelques semaines. C’était n’importe quoi… Elle passa ma main sur son front, surement plus froide qu’avant, en rangeant progressivement ses affaires : « Et puis le prochain, c’est n’importe quoi, ça serait du grand rêve. Donc je laisse tomber l’amour un temps. » C’est vrai, qu’en sachant cela, elle n’avait pas besoin de ça, pas besoin de savoir qu’elle aurait quelque chose à voir avec lui, ou bien savoir si en voyant ça, elle n’avait pas vu la mort de l’un de ses proches… « Eh bien, de toute façon, je pense qu’on à plus rien à ce dire, je te laisse à ta tranquillité retrouvée », ajoute-t-elle, un sourire faux sur le visage. Elle devait fuir et oublier ses images.
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